Howard Lutnick, secrétaire au Commerce, crée un “accélérateur d’investissement” au sein de son département, ciblant les grandes entreprises, dont Intel Corp. (NASDAQ: INTC) et Lockheed Martin Corp. (NYSE:LMT).
Selon le rapport du New York Times, le fonds, dirigé par Michael Grimes, ancien banquier chez Morgan Stanley (NYSE: MS), vise à garantir des participations gouvernementales en échange d’un soutien fédéral.
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L’initiative utilise le financement du CHIPS Act et les milliards promis par le Japon et la Corée du Sud dans le cadre d’accords commerciaux pour établir ce que Lutnick appelle un “fonds national de sécurité et de sécurité économique”.
Le deal avec Intel suscite des inquiétudes dans le monde de l’entreprise
Lutnick a tiré des capitaux propres d’Intel pour financer les fonds fédéraux, ce qui a surpris les dirigeants d’entreprise qui le voyaient auparavant comme un allié. “L’Amérique devrait avoir des parts parce que c’est tout simplement juste”, a déclaré le ancien PDG de Cantor Fitzgerald à la direction d’Intel.
L’approche cible les entreprises de défense et de construction navale, Lockheed Martin figurant parmi les cibles potentielles de ce type d’arrangement gouvernemental sur les capitaux propres.
Les dirigeants de Wall Street expriment leur méfiance
Les dirigeants d’entreprise deviennent plus prudents quant à la recherche d’un soutien gouvernemental, craignant qu’ils ne soient confrontés à des demandes de concessions difficiles, comme on l’a vu avec Intel. L’économiste de Harvard Greg Mankiw a critiqué ces tactiques, les décrivant comme “une forme d’extorsion” et les comparant à une extorsion de style mafia.
Les consultants qui considéraient autrefois Lutnick comme leur principal lien avec l’administration expriment désormais leur inquiétude face à ses méthodes agressives.
Impact sur le marché et résistance
La stratégie crée une incertitude dans les entreprises malgré son alignement sur l’approche de conclusion des accords de Trump. Les douaniers ont bloqué la nouvelle proposition du Service des recettes externes de Lutnick, limitant son expansion dans le contrôle des tarifs.
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