Lundi, le président Donald Trump a pris l’initiative d’appeler séparément le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy dans le but de négocier un cessez-le-feu dans le cadre de la guerre en Ukraine.
Ce qui s’est passé Trump a exprimé ses espoirs pour une « journée productive » dans un post sur les réseaux sociaux ce week-end, indiquant que son premier appel aurait lieu à 10 heures lundi avec Poutine pour discuter de la fin de ce qu’il a qualifié de « bain de sang » d’une guerre qui « n’aurait jamais dû arriver », selon l’Associated Press.
Les appels représentent un test crucial pour la réputation de négociateur de Trump, après qu’il a affirmé qu’il pouvait résoudre rapidement le conflit qui a débuté avec l’invasion de la Russie en février 2022.
Le secrétaire au Trésor Scott Bessent a averti dimanche sur NBC dans l’émission « Meet the Press » que l’échec de Poutine à négocier de « bonne foi » pourrait déclencher des sanctions supplémentaires contre la Russie. Bessent a suggéré que les sanctions de l’époque de l’ancien président Joe Biden étaient insuffisantes car elles préserveraient les revenus pétroliers de la Russie pour éviter une augmentation des prix aux États-Unis.
La poussée diplomatique intervient alors que la violence s’intensifie, le Kremlin lançant sa plus grande salve de drones contre l’Ukraine depuis le début de l’invasion – 273 drones explosifs et leurres ciblant les régions de Kyiv, de Dnipropetrovsk et de Donetsk.
Zelenskyy, qui a rencontré le vice-président JD Vance et le secrétaire d’État Marco Rubio à Rome dimanche, a insisté sur un « cessez-le-feu inconditionnel » avant toute négociation. Poutine a récemment rejeté l’offre de Zelenskyy de le rencontrer en Turquie, bien que les deux pays se soient engagés à échanger 1 000 prisonniers de guerre chacun.
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Pourquoi c’est important Bridget Brink, ancienne ambassadrice des États-Unis en Ukraine, qui a démissionné le mois dernier, a exprimé sa préoccupation concernant l’approche de Trump, déclaant: « La paix à tout prix n’est pas la paix. C’est de l’apaisement. »
Le résultat de ces efforts diplomatiques pourrait avoir un impact significatif sur la stabilité des marchés, en particulier si de nouvelles sanctions ciblent le secteur de l’énergie en Russie, ce qui pourrait perturber l’approvisionnement et les prix mondiaux du pétrole.
Pendant ce temps, l’Ukraine et les États-Unis ont relancé les discussions sur un fonds d’investissement commun pour la reconstruction d’après-guerre, signalant des opportunités futures potentielles pour les investisseurs dans l’infrastructure énergétique et les ressources minérales ukrainiennes.
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Astuce de pro : Ce contenu a été produit en partie à l’aide d’outils d’intelligence artificielle, puis relu et publié par les éditeurs de Benzinga.
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