Mark Cuban, propriétaire des Mavericks de Dallas, exprime son désarroi en apprenant que certains de ses employés dépendent des programmes d’aide gouvernementaux.
Ce qui s’est passé Cuban a exprimé sa surprise en apprenant qu’un certain nombre de ses employés d’arène recevaient des aides publiques.
« Quand j’ai découvert que des employés de notre arène percevaient des aides publiques, j’ai immédiatement octroyé des augmentations de salaire à chaque employé horaire et à leurs responsables », a déclaré Cuban, exprimant son embarras face à cette situation.
D’après le rapport d’Insider, Cuban, qui détient la majorité des parts des Mavericks depuis 2000, a réprimandé les grands employeurs pour que ces derniers rémunèrent tellement mal leurs employés à temps plein que ces derniers soient éligibles à l’assurance santé Medicaid.
Il a proposé que le moyen le plus efficace de réduire les coûts de Medicaid est de révéler publiquement l’identité de ces employeurs.
Cette révélation intervient alors que Donald Trump tente de faire adopter sa « Big Beautiful Bill » d’ici le 4 juillet. La législation proposée imposerait d’importantes restrictions sur Medicaid, un programme de soins de santé sur lequel plus de 70 millions d’Américains s’appuient.
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Cuban, un critique connu de Trump, a soutenu que les réductions de Medicaid devraient être financées par les employeurs, et non par la législation. Il a suggéré que les PDG pourraient se permettre de retirer leurs employés de Medicaid en acceptant de faire moins de profit et en demandant à leurs actionnaires d’augmenter le ratio bénéfices / cours des actions.
Pourquoi c’est important Les actions de Cuban soulignent un problème croissant de disparité des salaires et de dépendance des travailleurs à temps plein aux aides gouvernementales. Sa décision d’augmenter les salaires de ses employés aborde non seulement le problème immédiat, mais attire également l’attention sur le problème plus large.
En plaidant pour que les PDG acceptent de faire moins de profit et augmentent le ratio cours/bénéfices pour les actionnaires, Cuban remet en cause le statu quo et suscite une discussion sur la responsabilité des entreprises et les salaires équitables.
Cela pourrait inciter d’autres employeurs à reconsidérer leurs politiques salariales et réduire le fardeau pesant sur les programmes d’aide gouvernementale.
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