Un ancien haut cadre de l’Administration de la sécurité sociale a discrètement suggéré d’idée de placer une partie du fonds de réserve de 2,7 billions de dollars du programme dans un bon du Trésor à court terme qui se convertirait automatiquement en un panier d’actions de l’indice S&P 500 à son échéance, mais la proposition n’a jamais vraiment vu le jour.
Ce qui s’est passé Scott Coulter, qui occupait le poste de directeur de l’information de la SSA jusqu’au printemps, a fait valoir que l’instrument hybride dette/action pourrait donner du temps au programme en lui rapportant des rendements de marché plus élevés que les obligations traditionnelles spéciales, selon un résumé interne d’après le Wall Street Journal.
Coulter a rédigé le plan alors qu’il était le lien de la SSA avec le Département de l’efficacité gouvernementale soutenu par Trump. Il a proposé de ne transférer qu’une partie des actifs pour limiter le risque, en déclarant que le bon donnerait aux fiduciaires un potentiel de rendement sans violer le mandat d’investissement quotidien de la loi. Le fonds de réserve investit actuellement exclusivement dans des titres non négociables du Trésor américain.
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Le commissaire à la sécurité sociale Frank Bisignano, qui a été confirmé dans ses fonctions en mai, a mis l’idée de côté. L’ancien directeur de Fiserv a expliqué aux législateurs qu’il était plus attentif à améliorer le service client et à intégrer des outils d’intelligence artificielle.
Dans une déclaration distincte, Bisignano a déclaré que la sauvegarde du fonds “reste une priorité absolue pour l’administration Trump”.
Pourquoi c’est important Le Comité pour un budget fédéral responsable, qui est non partisan, met en garde contre le fait que la loi en instance de Donald Trump, le “One Big Beautiful Bill”, accélérerait l’épuisement de la réserve de retraite et le ferait atteindre 2032 en réduisant les taxes sur les prestations. Éliminer les impôts sur les prestations coûterait 1,5 billion de plus, selon les estimations.
Le secrétaire au Trésor Scott Bessent a suggéré un plan plus large qui implique de coupler le programme à un nouveau fonds souverain alimenté par des certificats de naissance pour les nouveaux-nés. De toute façon, une telle démarche nécessiterait l’approbation du Congrès et un nouvel emprunt pour racheter les obligations existantes, une étape coûteuse aux taux en vigueur, a souligné l’ancien fiduciaire Charles Blahous lors de son entretien avec le Wall Street Journal.
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