Suite à l’extraction des données de Benzinga Pro au cours du deuxième trimestre, CatchMark Timber Trust (NYSE:CTT) a gagné 4,28 millions de dollars, soit 143,02% de plus contre le trimestre précédent. CatchMark Timber Trust a également encaissé un total de 31,94 millions de dollars issus des ventes, un montant en hausse de 15,37% par rapport au premier trimestre. Les bénéfices et les résultat de ventes au premier trimestre de CatchMark Timber Trust se sont élevés respectivement à 1,76 millions et 27,69 millions de dollars.
Pourquoi le ROCE est-il aussi important ?
Toute évolution des bénéfices ou des résultats de ventes implique un changement dans la rentabilité des capitaux investis (ROCE) de CatchMark Timber Trust. Le ROCE est un ratio qui mesure le bénéfice annuel avant impôt du capital utilisé par une société. Normalement, un ROCE élevé signale la croissance d’une entreprise, annonçant un BPA plus important dans l’avenir. Au cours du deuxième trimestre, le ROCE de CatchMark Timber Trust s’est élevé à 0,03%.
Toutefois, il ne faut pas oublier que le ROCE évalue les performances passées et qu’il ne peut pas être utilisé pour avancer des prévisions. Bien qu’il donne une idée plutôt précise des performances récentes d’une société, plusieurs facteurs sont susceptibles d’influencer davantage les bénéfices et les ventes sur le court terme.
Le ROCE est un ratio fondamental quand on veut comparer des sociétés similaires. En effet, un ROCE relativement élevé montre que, potentiellement, CatchMark Timber Trust est plus efficiente par rapport aux autres entreprises du même secteur. Si la société atteint des bénéfices importants avec le capital actuel, une partie de cet argent pourra être réinvesti en tant que nouveau capital ce qui normalement entraîne des gains et un BPA accru.
Dans le cas de CatchMark Timber Trust, un ROCE positif est susceptible de retenir l’attention des investisseurs, avant qu’ils ne se décident pour tout financement à long terme.
Les prévisions des analystes
CatchMark Timber Trust a publié un BPA de 0,04 dollars au deuxième trimestre, dépassant ainsi le seuil de -0,02 dollars par action prévu par les analystes.