Le président américain, Donald Trump, et le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, travailleraient actuellement sur un plan pour mettre fin à la guerre en cours à Gaza et élargir les accords Abraham, avec l’adhésion de nouveaux pays à cet accord de paix.
Ce qui s’est passé : Selon Israel Hayom, le plan exigerait qu’Israël s’engage à soutenir un futur État palestinien. Cette proposition a été discutée lors d’un appel téléphonique entre Donald Trump et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lundi, ont indiqué The Times Of Israel.
Selon des sources, les deux dirigeants se seraient mis d’accord pour mettre fin à la guerre de Gaza dans un délai de deux semaines, ce qui nécessiterait qu’Israël cesse ses opérations militaires et que le Hamas libère ses 50 derniers otages. Par la suite, les dirigeants du groupe palestinien seraient exilés, et la gestion de la région déchirée par la guerre serait prise en charge conjointement par quatre pays arabes, notamment les Emirats Arabes Unis et l’Égypte.
Le plan comprend également des dispositions pour la réhabilitation de la bande de Gaza, l’absorption des habitants de Gaza souhaitant émigrer par plusieurs pays non précisés et le soutien d’Israël à un futur État palestinien indépendant, à condition que l’Autorité palestinienne entreprenne des réformes. En échange, Washington reconnaîtrait la souveraineté d’Israël sur certaines régions de la Cisjordanie.
Une fois la guerre terminée et Israël ayant réaffirmé son engagement en faveur d’une solution à deux États, il est prévu que l’Arabie saoudite et la Syrie établissent des liens diplomatiques avec Israël dans le cadre des accords Abraham, d’autres pays arabes et musulmans étant susceptibles de suivre leur exemple.
Pourquoi c’est important : Ce développement survient au milieu d’autres événements significatifs dans la région. Trump a récemment exhorté Israël à annuler ou à gracier le procès de corruption de Netanyahu, le qualifiant de «chasse aux sorcières». Ce soutien public de Donald Trump pourrait avoir des implications pour l’échiquier politique israélien.
Pendant ce temps, la sénatrice américaine Elizabeth Warren a récemment exprimé des inquiétudes concernant une proposition visant à rediriger 500 millions de dollars de l’USAID vers la Gaza Humanitarian Foundation, une organisation controversée. Cette proposition, si elle est mise en œuvre, pourrait avoir des répercussions majeures sur la situation humanitaire à Gaza.
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