La philanthrope milliardaire Melinda French Gates a suggéré que le fait de pratiquer un sport pourrait être un facteur majeur dans la réussite des femmes dans les postes de direction.
Qu’est-il arrivé : Lors du Power of Women’s Sports Summit, Mme French Gates a mis en évidence la corrélation entre les femmes en postes de direction et leur participation au sport. Elle a noté que les femmes qui pratiquaient un sport, en particulier celles qui ne redoutaient pas l’échec, avaient plus de chances de se retrouver dans la C-suite, selon Fortune.
“La seule corrélation qu’ils peuvent trouver chez les femmes de la haute direction, les postes de PDG, c’est qu’elles ont toutes pratiqué un sport – ou la majorité d’entre elles”, a déclaré Mme French Gates.
Elle a ajouté : “Et la thèse est (nous ne savons pas pourquoi c’est le cas) qu’elles n’ont pas peur d’échouer. Vous sortez du terrain en jouant au football, et vous y retournez. Vous perdez parfois le match de tennis. Vous apprenez à échouer et que l’échec est normal. “
Elle a ajouté que le fait de pratiquer un sport aide au développement de qualités cruciales pour réussir en entreprise, telles que la résilience et la confiance en soi. Cette opinion a été soutenue par la légende du tennis Billie Jean King et par une étude d’EY, qui a révélé que 94 % des femmes de la C-suite sont d’anciennes sportives.
Pourquoi c’est important : Les PDG attribuent souvent leurs antécédents sportifs au développement de compétences de leadership essentielles telles que la confiance, le travail d’équipe et la discipline. Un rapport de McKinsey soutient cette opinion, soulignant les similitudes entre les traits de caractère des dirigeants et les traits athlétiques tels que la gestion du temps, la résilience et l’adoption d’un état d’esprit de croissance.
Les connaissances partagées par Mme Gates et Billie Jean King interviennent à un moment où le monde de l’entreprise est témoin d’un changement d’attitude et de culture du travail, en particulier avec l’arrivée prochaine de la génération Z sur le marché du travail. La génération Z, qui représentera 30 % de la population active d’ici 2030, donne la priorité à l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, à la flexibilité et au développement des compétences.
De plus, l’appel de l’important banquier Jamie Dimon à la réforme du système éducatif américain souligne le besoin pour les écoles de s’adapter aux exigences d’une population active en constante évolution. L’accent mis sur le sport en tant que plate-forme de développement des compétences de la vie quotidienne pourrait potentiellement être conforme à ces tendances éducatives et professionnelles en évolution.
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