Kevin O’Leary a tourné son attention vers le marché des objets de collection, mettant en avant un Louis Vuitton Labubu sur le plateau de l’émission Shark Tank.
Voici pourquoi O’Leary est optimiste sur les objets de collection
Selon un rapport de Fortune, O’Leary pense que cette classe d’actifs a une longévité potentielle.
Le Labubu de O’Leary, une création de la société chinoise Pop Mart, n’est pas à vendre malgré de multiples offres. Ces jouets, souvent vendus dans des « boîtes aveugles », ont gagné en popularité dans le monde entier, en partie grâce au soutien de célébrités.
Le bénéfice net de Pop Mart a grimpé de 400 % au premier semestre de l’année, et ses actions cotées à Hong Kong ont bondi de 246 % depuis le début de l’année, selon le rapport.
Les ventes de Labubu ont doublé en 5 mois
Sur StockX, Pop Mart domine les marques d’objets de collection depuis octobre 2024, porté par la popularité de Labubu. Les ventes de juin ont doublé celles de janvier, avec 2,4 millions de recherches pour “Labubu” au premier semestre de l’année. Certains de ces jouets, vendus au détail à 40 dollars, se sont arrachés à 4 000 dollars sur StockX.
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O’Leary voit également du potentiel dans les cartes de sport de collection, notant un volume d’échanges mensuel compris entre 380 et 400 millions de dollars. Il a comparé ce marché à l’art moderne d’il y a 20 ans, mettant en lumière son potentiel de croissance. Une carte “Innovation Kobe Bryant Kaboom !” de 2013 s’est récemment vendue 19 999 dollars, soit une hausse de 338 % par rapport à l’année dernière, selon le rapport de Card Ladder.
Les conseils d’O’Leary en matière de responsabilité fiscale
L’intérêt de O’Leary pour les objets de collection s’inscrit dans un contexte de discussion plus large sur la gestion de patrimoine et l’indépendance financière.
Récemment, il a partagé ses réflexions sur la richesse, en insistant sur l’importance de la discipline financière et de l’autonomie. O’Leary, qui a vendu sa société de logiciels à Mattel pour 4,2 milliards de dollars, s’est fait le porte-voix de l’enseignement de la responsabilité financière, racontant même comment il a coupé les vivres à la fiducie de son fils pour encourager l’excellence académique.
De plus, les commentaires d’O’Leary sur les conditions économiques, telles que les politiques de taux d’intérêt de la Réserve fédérale, mettent en évidence les complexités auxquelles sont confrontés les investisseurs. Il a noté que le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, pourrait résister à une baisse des taux en raison de la croissance économique et de la productivité induite par l’IA, créant ainsi un environnement difficile pour les investissements traditionnels.
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