Au cours de la dernière décennie, le Bitcoin (CRYPTO : BTC) a connu une meilleure performance que d’autres classes d’actifs, bien que les analystes du marché aient mis en évidence sa volatilité nettement plus élevée.
Ce qui s’est passé : Dans un post publié sur X le 1er septembre, l’investisseur macroéconomique Krueger a comparé les rendements nominaux et ajustés à l’inflation du Bitcoin entre 2014 et 2024 à ceux du S&P 500, du Nasdaq, de l’or, de l’immobilier américain et des obligations du Trésor à 10 ans.
En partant de l’hypothèse d’une inflation “réelle” de 7 % et d’une taxe sur les plus-values de 20 %, le rendement réel de 46 % du Bitcoin a éclipsé celui de ses concurrents : Nasdaq : + 4 %, S&P 500 : + 2 %, Or : + 0,5 %, Immobilier américain : – 1 % et Trésor US à 10 ans : – 4 %.
Krueger a conseillé aux investisseurs de “choisir la bonne arme”, soutenant que le Bitcoin a été le gagnant évident.
Certains répondants ont rétorqué que l’Ethereum pourrait également être considéré comme un meilleur investissement à long terme, tandis que d’autres ont noté que la valeur de protection de l’or restait intacte malgré son potentiel limité.
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Et après ? Adam Bakay, un trader professionnel de renom, a déclaré à Benyinga que si le Bitcoin “a définitivement prouvé au fil des ans qu’il s’agissait d’un actif macroéconomique solide”, sa volatilité est plus élevée comparée au S&P 500 ou au Nasdaq.
Cependant, il suggère que le BTC mérite d’être inclus dans un portefeuille d’investissement, en particulier compte tenu du succès des ETF et de l’intérêt croissant des gouvernements.
Bakay a également mis en garde contre la volatilité, comme avec des fluctuations annuelles historiques de 40 %, les investisseurs doivent se préparer à des baisses importantes.
Si vous ne pouvez pas tolérer une perte de 40 %, vous êtes surexposé, a-t-il conseillé, en recommandant de mettre le Bitcoin en balance avec des actifs plus sûrs tels que l’or ou les obligations du Trésor américain.
Bien que Bakay ait reconnu la forte tendance du Bitcoin sur deux ans, il s’attend à un ralentissement de la dynamique vers la fin de l’année, bien qu’il subsiste une incertitude quant au calendrier.
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Image : Shutterstock