Anthony Pompliano, PDG de Professional Capital Management, pense que de nombreux pays achètent du Bitcoin (CRYPTO: BTC) à leur insu et prédit une année 2025 amusante si cela s’avère être le cas.
Qu’est-il arrivé: Dans un post publié jeudi sur X, Pompliano a souligné les récents développements, dont la proposition de la Banque nationale tchèque d’allouer des milliards de dollars au Bitcoin, considérée comme un tournant majeur.
S’il est mis en œuvre, cela marquerait l’une des premières fois où une banque centrale intègre ouvertement le BTC dans ses réserves.
Étant donné le faible niveau de corrélation entre le Bitcoin et les obligations, l’allocation proposée de 5 % est notablement plus élevée que les 1-2 % normalement alloués aux actifs alternatifs, ce qui en fait une proposition de diversification convaincante, selon Pompliano.
Cette action s’inscrit dans une tendance plus large d’adoption du Bitcoin par les États :
- El Salvador accumule continuellement du BTC dans le cadre de sa stratégie du trésor public
- Bhoutan détient du Bitcoin d’une valeur de 50 % de son PIB via sa branche d’investissement souverain
- La Russie explore l’extraction de BTC et les paiements internationaux face aux sanctions financières
- Donald Trump a signé un décret pour explorer un stock national d’actifs numériques
Dans sa dernière Pomp Letter, Pompliano soutient que le Bitcoin fonctionne sur un tout autre niveau par rapport aux investissements traditionnels tels que le S&P 500, l’or et même Berkshire Hathaway.
Il surnomme le BTC le « Grand-papa des actifs», qui continue de surpasser Wall Street.
Quoi de neuf: Pompliano spécule sur le fait que de nombreux pays accumulent silencieusement du Bitcoin, attendant le bon moment pour divulguer leurs avoirs afin d’éviter de faire monter les prix prématurément.
S’il était officiellement sur le marché du Bitcoin en 2025, les banques centrales pourraient déclencher une vague massive de FOMO institutionnel et de détail, renforçant la croyance de longue date selon laquelle l’adoption de ce système par les États est inévitable.
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