L’administration Trump a annoncé que les immigrants en situation irrégulière ne pourront plus bénéficier de plusieurs programmes fédéraux.
Ce qui s’est passé : Le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr., a révélé jeudi que les immigrants vivant illégalement aux États-Unis se verront interdire l’accès au programme Head Start et à plusieurs autres prestations et programmes fédéraux.
“Head Start fait partie des programmes inclus dans la liste mise à jour et élargie des “prestations publiques fédérales” classées sous la PRWORA pour garantir que l’inscription à Head Start est désormais réservée aux citoyens américains”, indique le communiqué officiel.
Les programmes concernés, tels que l’aide aux sans-abris, la planification familiale Title X, le traitement des toxicomanies et les services de santé mentale, sont généralement basés sur la vérification des revenus et d’autres critères d’éligibilité plutôt que sur le statut d’immigration.
De plus, le ministère de l’Éducation a annoncé que les immigrants en situation irrégulière ne pourront plus bénéficier des avantages financés par les contribuables pour les programmes d’enseignement postsecondaire. Cette décision fait suite à l’abrogation d’une lettre d’un ancien président Bill Clinton permettant à certains immigrants en situation irrégulière de bénéficier des prestations publiques fédérales.
La secrétaire à l’Éducation Linda McMahon a déclaré que « les programmes d’éducation postsecondaire financés par le gouvernement fédéral devraient profiter aux citoyens américains, et non aux étrangers illégaux ».
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Pourquoi c’est important : La mesure prise par l’administration Trump pour restreindre les bénéfices fédéraux des immigrants sans papiers s’inscrit dans une série de changements de politique. Ces changements ont suscité un débat sur l’approche de l’administration en matière d’immigration et son impact sur divers secteurs.
La politique agressive de l’administration en matière d’immigration, soutenue par un budget de 45 milliards de dollars, a augmenté les bénéfices des prisons privées, tout en suscitant des critiques.
Entre-temps, l’ancien secrétaire d’État John Kerry a reconnu que le Parti démocrate avait « raté » sur la question de l’immigration, concédant que la nécessité d’une application stricte des lois sur l’immigration était justifiée.
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