L’Internal Revenue Service (IRS) américain est sur le point de licencier des milliers d’employés, ce qui pourrait avoir un impact considérable sur les opérations de l’agence pendant la saison cruciale de déclaration des impôts.
Ce qui s’est passé : L’IRS s’apprête à licencier un nombre important de travailleurs, y compris des employés en probation, dans les jours à venir, selon ce qu’a rapporté à Reuters une source proche du dossier.
L’Office of Personnel Management, qui supervise l’embauche au niveau fédéral, a demandé à toutes les agences de licencier leurs employés en période de probation, qui sont relativement nouveaux dans leur rôle et ne bénéficient pas de protections complètes en matière d’emploi.
Le nombre exact de licenciements à l’IRS, qui avait été porté à 100 000 employés sous l’administration précédente, n’est pas confirmé. Cela comprend environ 16 000 travailleurs en probation. Le nombre de licenciements concernera principalement des employés en probation qui ont soit refusé une offre de rachat précédente, soit n’ont pas été jugés essentiels pour la saison des impôts en cours.
« Ils essaient de réduire les effectifs dans tous les domaines, sans analyse de l’impact que cela aura sur les opérations », a déclaré une source à Reuters.
L’IRS, qui gère actuellement la saison très chargée des impôts, restera occupée pendant des mois après la date limite de déclaration du 15 avril, en traitant les déclarations de revenus et en effectuant des remboursements.
Pourquoi c’est important : Ces licenciements s’inscrivent dans le cadre d’une initiative plus large menée par l’ancien président Donald Trump et le Department Of Government Efficiency (DOGE) d’ Elon Musk pour restructurer le gouvernement fédéral, qu’ils affirment être devenu trop volumineux et inefficace.
Cette décision fait suite à une série d’événements significatifs au sein de la population active fédérale. Quelques jours seulement avant l’annonce des licenciements à l’IRS, un juge fédéral a bloqué le plan du président Trump pour mettre 2200 employés de l’Agence américaine pour le développement international en congé payé. Cette décision a été perçue comme un revers majeur pour l’agenda « America First » de Trump.
Entre-temps, le sénateur Mitch McConnell (R-Ky.) a également fait part de ses préoccupations concernant les politiques du président Trump, mettant en garde contre d’éventuelles hausses de prix et exprimant que les « propositions agressives de Trump laissent de sérieuses préoccupations pour l’industrie et les travailleurs américains ».
Lire la suite:
Avis de non-responsabilité: Ce contenu a été produit en partie à l’aide d’outils d’IA et a été examiné et publié par les éditeurs de Benzinga.
Photo gracieuseté de: Shutterstock