Le Bureau fédéral d’enquête (FBI) a arrêté un résident de l’Alabama pour piratage présumé du compte de médias sociaux de la US Securities and Exchange Commission (SEC) sur (X) plus tôt cette année.
Ce qui s’est passé : Le FBI a appréhendé Eric Council Jr. jeudi, l’accusant d’avoir comploté avec d’autres pour obtenir un accès non autorisé au compte X de la SEC en janvier.
Le piratage aurait été causé par un faux tweet annonçant l’approbation d’un fonds négocié en bourse (ETF) Bitcoin (CRYPTO: BTC).
Cette fausse annonce a provoqué une hausse du cours de Bitcoin de plus de 1 000 $ avant de chuter de plus de 2 000 $ après que la SEC a retrouvé le contrôle de son compte et a qualifié l’annonce de violation de sécurité. La SEC n’avait pas mis en place d’authentification multifacteur pour son compte à l’époque.
Eric Council a été accusé d’avoir exécuté le piratage via un échange de carte SIM non autorisé, en trompant un opérateur de téléphonie mobile pour lui faire réattribuer un numéro de téléphone à une carte SIM qu’il contrôlait. Cela lui a permis d’accéder aux comptes de médias sociaux liés à ce numéro et de publier l’annonce prématurée de l’ETF Bitcoin.
Chad Yarbrough, directeur adjoint de la division des enquêtes criminelles du FBI, a déclaré : « L’accusé aurait trompé le public en se faisant passer pour la victime et en faisant des déclarations frauduleuses au nom de la SEC. »
Le conseil est accusé de complicité pour avoir commis un vol d’identité et un accès frauduleux à un dispositif, ce qui pourrait lui valoir une peine de prison de cinq ans.
Pourquoi c’est important : L’incident souligne les vulnérabilités de la sécurité des comptes de médias sociaux, en particulier pour les organisations de haut niveau.
En janvier, la SEC a confirmé que son compte Twitter (désormais (X)) avait été compromis, ce qui a entraîné un faux tweet sur les approbations de fonds négociés en bourse pour le Bitcoin.
Ce post non autorisé a causé d’importants perturbations sur le marché, avec plus de 220 millions de dollars liquidés et plus de 70 000 traders affectés.
La SEC, en collaboration avec le FBI, a lancé une enquête sur ce piratage, soulignant que le contenu non autorisé n’avait pas été créé par la SEC.
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